DES PARENTS ÂGÉS, QUI RÊVAIENT D'AVOIR UNE BELLE ET GRANDE FAMILLE COMME LEURS PARENTS AVANT EUX. MAIS CE NE FUT MALHEUREUSEMENT PAS LE CAS. IL N'Y A PAS QUE CHER LES MOLDUS QUE D'AVOIR UN ENFANT PEUT PARFOIS ÊTRE UN PARCOURENT DU COMBATTANT. CHEZ LES SORCIÈRES C'EST LA MÊME GALÈRE, SAUF QUE DANS LES FAMILLES DE SANG PUR, ON N'ACCEPTE PAS L'AIDE DE LA MAGIE POUR TOMBÉE ENCEINTE. IL FAUT LE FAIRE ET Y ARRIVER NATURELLEMENT OU LAISSER TOMBER...

ILS ONT ESSAYÉ D'AVOIR LEUR ENFANT PENDANT TELLEMENT D'ANNÉE SENS JAMAIS Y PARVENIR. QUE LE JOUR OÙ IL S'ÉTAIT ENFIN RÉSIGNÉ À NE JAMAIS EN AVOIR, LA MÈRE À JAMES TOMBA ENCEINTE. UN MIRACLE POUR PLUSIEURS RAISONS, L'ÂGE DE SA MÈRE ET LES RISQUES LIENS À SA, QUI POURRAIT LA METTRE EN DANGER ELLE COMME L'ENFANT QU'ELLE PORTAIT ET AUSSI LE FAIT QUE PARFOIS LES GROSSES QUI N'ONT JAMAIS MARCHÉ AUPARAVANT FINISSENT SOUVENT PAR UN BÉBÉ MORT-NÉ, OU AVEC DES PROBLÈMES DE SANTÉ.

CE NE FUT PAS LE CAS ! JE GRANDIS FORT ET PUISSANT DEJA DANS LE VENTRE DE MA MERE. MON PERE ETAIT TELLEMENT RAVI DE LA NOUVELLE QU'IL S'ETAIT MIS EN QUATRE PENSANT 9 MOIS POUR SATISFAIRE TOUS LES DESIRE DE MA MERE MEME LES PLUS FARFELUS. DES FRAISES EN DECEMBRE, "OUI PAS DE PROBLEME MON AMOUR".. TOUS JE VOUS DIT, QU'EST CE QU'ON NE FERAIT PAS PAR AMOUR ?

L'ENFANT UNIQUE TELLEMENT DÉSIRÉ, QUE QUAND IL DEMANDAIT QUELQUE CHOSE, IL L'AVAIT DANS L'HEURE VOIRE MÊME LA MINUTE, SI C'ÉTAIT POSSIBLE. JAMES AURAIT PU EN PROFITER, QUE DIS-JE EN ABUSER AFIN DE FAIRE TOURNER SES PARENTS EN BOURRIQUE, MAIS ON PEU PENSÉ CE QUE L'ON VEUT DE LUI, IL A TOUJOURS AIMÉ SES PARENTS ET LEUR A TOUJOURS RENDU TOUT L'AMOUR QU'IL LEUR À DONNER.

SES PARENTS ADORAIENT LUI RACONTER COMMENT ILS AVAIENT EU DU MAL À L'AVOIR, COMMENT ILS ÉTAIENT FIER LA PREMIÈRE FOIS QU'ILS L'AVAIENT VU. MALGRÉ SA PEAU TOUTE FRIPÉ DE BÉBÉ ET SA TOUFFE ÉPAISSE DE CHEVEUX NOIRS SUR LE SOMMET DE SA TÊTE. IL N'OUBLIAIT PAS LE COMBAT MUTUEL DE SES PARENTS, POUR L'AVOIR. ÉLEVÉ COMME UN PRINCE, DANS LES TRADITIONS DES SANGS PURS. IL N'A POURTANT JAMAIS EU DE MÉPRIS POUR LES NÉ MOLDUS. IL NE FUT PAS ÉLEVÉ AINSI. ILS LUI ONT APPRIS À AIMER SON PROCHAIN ET À LUI VENIR EN AIDE, EN CAS DE BESOIN.

LA PREMIÈRE FOIS QU'ON FAIT DE LA MAGIE SOUVENT, ON EST TROP JEUNE POUR S'EN SOUVENIR. CE FUT ÉGALEMENT MON CAS. ÂGÉS DE TROIS ANS ET DEMI, J'AVAIS FAITS VOLÉS AU-DESSUS DE NOS TÊTE, LES BOULES DU SAPIN DE NOËL, ET DÉCORER L'ENSEMBLE DE LA MAISON. MON PÈRE AVAIT POUR HABITUDE DE ME PARLER DE NOËL PLUS D'UN MOIS AUPARAVANT. AIMANT CETTE FÊTE PLUS QUE LES AUTRES, IL CHANTAIT DES CHANSONS ET AIMAIT PARTAGE AVEC SON FILS, SES MOMENTS DE PARTAGE QUE RÉCHAUFFE LE CŒUR. LE PLAISIR DE MARCHÉ DANS LA NEIGE, DE CE RÉCHAUFFÉ AU COIN DU FEU, DE DANSER SUR LES CHANSONS DE NOËL, ENFIN VOUS VOYEZ LE TRUC...

JE VOULAIS QUE MA CHAMBRE SOIT DÉCORÉE, AINSI QUE LE RESTE DE LA MAISON POUR ME FAIRE PLAISIR ET À MON PÈRE AUSSI, MAIS MA MÈRE M'AVAIT DIT : "ON VERRA LE MOIS PROCHAIN PAS AVANT, C'EST TROP TÔT." JE FUS ATTRISTÉ PAR SON REFUS, ET UN PEU EN COLÈRE QU'ELLE NE VEUT PAS FAIRE PLAISIR À SON FILS. JE M'ÉTAIS RÉSIGNÉ EN ME DISANT "PAS GRAVE, JE RETENTERAIS MA CHANCE DEMAIN". MES PARENTS NE SE DISPUTAIENT JAMAIS, OU J'EN AI PAS LE MOINDRE SOUVENIR. CE SOIR-LÀ, MA MÈRE S'ÉTAIT FÂCHÉ APRÈS PAPA, DE ME PARLER TROP TÔT DE CETTE FÊTE, ET QUE DU COUP J'ÉTAIS FORCÉMENT DÉÇU.

JE M'ÉTAIS INTERPOSÉ EN CRIANT "NE VOUS DISPUTEZ PAS !" MES ÉMOTIONS AVAIENT FAIT NAÎTRE EN MOI LA MAGIE. LES BOULES DE NOËL, LE SAPIN, LES GUIRLANDES, TOUT ÉTAIENT SORTI DU GRENIER DE MES PARENTS ET S'ÉTAIT INSTALLÉ SENS QUE JE NE COMPRENNE TROP COMMENT J'AVAIS RÉALISÉ SA. LA COLÈRE DE MA MÈRE S'ÉTAIT ARRÊTÉ RAPIDEMENT ET UNE POINTE DE FIERTÉ ÉTAIT NÉ À LA PLACE. MON PÈRE RAVI M'AVAIT PRIS DANS LES BRAS ET M'AVAIT FAIT VOLER AU-DESSUS DE SA TÊTE COMME CI, J'ÉTAIS UN AVION. CETTE PHOTO ÉTAIT IMMORTALISÉE DANS LE SALON, DEPUIS CETTE DATE...

J'ÉTAIS EN COMPAGNIE DE MON PÈRE, A DISCUTÉ DANS LA CUISINE DE CE QUE NOUS ALLIONS POUVOIR FAIRE AUJOURD'HUI. QUAND UN HIBOU PÉNÉTRA PART LA FENÊTRE DE CELLE-CI, ET DÉPOSA AVEC ÉLÉGANCE LA LETTRE DE POUDLARD SUR LA TABLE. JE LUI TENDIT UN GÂTEAU ET IL REPARTI PAR OU IL ÉTAIT VENU. JE N'AVAIT PAS BESOIN D'OUVRIR LA LETTRE AU REGARDÉ RAVIS DE MON PÈRE ET A SON SOURIRE JE SAVAIS CE QUE C'ÉTAIT.

NOTRE JOURNÉE ÉTAIT TOUTE TRACÉ J'OUVRIR LA LETTRE AVEC PRÉCAUTION POUR NE PAS RISQUÉ DE LA DÉCHIRER, PUIS EN SORTI LE COURRIER ÉCRIT À LA PLUME D'UNE MAGNIFIQUE ÉCRITURE. JE LA PARCOURU DE LONG EN LARGE, PUIS DIT A MON PÈRE : "ET SI ON ALLAIT FAIRE DES COURSES !" SA RÉPONSE FUT TRÈS COURTE, IL ATTRAPA SA SACOCHE ET RÉPONDIT SUR UN TON RAVI : "OK".

NI UNE, NI DEUX JE ME LEVAIS D'UN BON TRAVERSAIS LA MAISON EN DIRECTION DE MA CHAMBRE, ATTRAPAIT UNE VESTE ET LE REJOINGNIT DANS LA CUISINE. JE SAISIE UNE GROSSE POIGNE DE LA POUDRE DE CHEMINETTE QU'IL ME TENDRAIT ME MIS DANS L'HANTRE DE LA CHEMINEE ET DIT BIEN DISTINCTEMENT "CHEMIN DE TRAVERS". DANS UNE JERBE DE FLAMMES JE DISPARUE ET REAPPARUE SUR LE CHEMIN DE TRAVERS LA DESTINATION CHOISI, MON PERE SUR MES TALONS.

IL ME TENDIT LA LISTE DE FOURNITURE SCOLAIRE ET ME DIT "PAR OU ON COMMENCE ?" C'ETAIT VRAIMENT A LUI DE CHOISIR, PARFAIS SA SERAIT LA BAGUETTE MAGIQUE DEPUIS LE TEMPS QU'IL EN VOULAIT UNE. LA BOUTIQUE D'OLLIVENDERS, N'ETAIS PAS DE TOUTES JEUNESSE, UNE PORTE D'UN BOIS SOMBRE, UN PARQUET ET UN COMPTOIRE DE LA MEME COULEUR. SEULE LA FAIBLE LUMIERE DES BOUGIES MAGIQUE APPORTAIT UNE AMBIANCE CHAUDE A LA PIECE.

DANS LA BOUTIQUE, IL Y AVAIT DEJA UNE JEUNE FILLE AU CHEVEUX ROUX, ACCOMPAGNEE DE SES PARENTS CERTAINEMENT. HABILLE COMME DES MOLDUS, SA CLASSE SOCIALE ETAIT LIMPIDE. MON PERE LES SALUATS POLIMENTS, J'EN FIT DE MEME. JE M'APPROCHAIS DES ETAGERES OU ETAIENT RENFERME TOUT PLEIN DE GAGUETTE DANS DE SUPERBE ETUIES, PUIS TANDANT LA MAIN ENFIN M'APPRETAIS A EN PRENDRE UNE. JE SENTI UNE PRESENCE DERRIERE MOI, ME RETOURNANT IL Y AVAIT DEVANT MOI UN HOMME D'UN AGE MUR, ME SOURIANT, MAIS ME DIT SUR UN TON SENS REPLIQUE "ON NE TOUCHE PAS, MONSIEUR POTTER !". JE REGARDIS MON PERE QUI AVAIT UN LARGE SOURIR AMUSE PAR LA SITUATION, PUIS MON REGARD BALAYA LA BOUTIQUE ET TOMBA SUR LA ROUQUINE QUI ME REGARDAIT DU COIN DE L'OEIL.

GENER PAR LA SITUATION, MAIS NE VOULANT PAS TROP LE PARAÏTRE JE PASSAIS UNE MAIN DERRIERE LA TETE ET SOURIT COMME UN NIGO. ELLE ME RENDIT MON SOURIRE QUAND ON FUT TOUT DEUX COUPES DANS NOTRE INTERRACTION. LE PROPRIETAIRE DE LA BOUTIQUE TOUT TANDIS A CHACUN UNE BAGUETTE ET IL DIT EN S'ADRESSANT A LA JEUNE FILLE D'ABORD : " POUR MISS EVIANS, UNE BAGUETTE EN BOIS DE SAULE 25.6 CM, SOUPLE ET RAPIDE, EXCELLENTE BAGUETTE POUR LES ENCHANTEMENTS, & VOUS MONSIEUR POTTER, UNE BAGUETTE EN BOIS D'ACAJOU 27.5 CM, FLEXIBLE, REMARQUABLEMENT EFFICACE POUR LES METAMORPHOSES. AVOUS !?"

ILS SAISIRENT TOUT DEUX LEUR BAGUETTE EN MËME TEMPS, LA ROUQUINE REGARDA JAMES NE SACHANT PAS QUOI EN FAIRE DE CE TRUCS, ALORS JAMES FIT LE GESTE AVEC SA BAGUETTE ET ELLE L'IMITA LES DEUX BAGUETTES AVAIT TROUVE LEUR PROPRIETAIRE. LES DEUX ENFANTS CE SOURIRE MUTUELLEMENT, AVANT DE CE TOURNER VERS LEUR PARENTS RESPECTIF. SON PERE PAYA LA BAGUETTE, ET PRIS QUELQUES MINUTES DE PLUS POUR EXPLIQUER LA MONNAIS A LA FAMILLE EVIANS.

PUIS IL SORTIR DE LA BOUTIQUE, DIRECTION LE RESTE DU MATERIEL, ROBE DE SORCIER, CHAUDRON, INGREDIENTS POUR LES POTIONS.. JAMES REGARDAIT SOUVENT DERRIERE LUI PENSANT REVOIR CETTE JEUNE FILLE. MAIS IL NE LA REVIT PAS DE LA JOURNEE. UNE FOIS TOUTE LES COURSES TERMINEES, ILS RENTRAIRENT CHEZ EUX, FATIGUE DE LA JOURNEE, MAIS RAVIS.

LA RENCONTRE DES DEUX FUTURS ET MEILLEURS AMIS (OUI JE NE COMPTE PAS PETER DEDANS PARCE QUE LUI, IL IDOLÂTRAIT SIRIUS, ALORS IL ÉTAIT AVEC NOUS, MAIS JUSTE A CAUSE DE SIRIUS)


DÉBUT SEPTEMBRE ETAIT ENFIN ARRIVÉ ! JAMES ETAIT TELLEMENT PRESSÉ QUE SES S’AFFAIRES ÉTÉ DESCENDU DEVANT L’ENTRÉE LA VEILLE AU SOIR. QUAND IL SE LEVA CE MATIN LA, IL AVAIT DIRECT ENFILÉ SON UNIFORME PARÉ POUR CETTE NOUVELLE AVENTURE. IL PRENAIT SOUVENT LA VIE DU BON CÔTÉ, C’EST POUR ÇA QU’IL ETAIT AUSSI SEREIN EN CE JOUR. QUITTE LA DEMEURE FAMILLE ETAIT PAS CHOSE FACILE, MAIS L’EXCITATION, ET LA DÉCOUVERTE DE CE LIEU MYTHIQUE, ETAIT LE PLUS FORT. SA MERE AVAIT SORTI LES PETITS PLATS HIER SOIR ET ELLE NE COMPTAIT PAS EN RESTER LÀ, CE MATIN ÉGALEMENT.

SON PÈRE AVAIT DU EN FAIRE LA REMARQUE AVANT SON ARRIVÉ, PARCE QU’ILS CE CHAMAILLENT COMME DES GOSSES DANS LA CUISINE. A SON ARRIVÉ, SON PÈRE LUI ENVOYA UN PETIT PAIN AU LAIT, QU’IL RATTRAPA ET ENFOURNA DANS SA BOUCHE SUIVIT DE PRÊT PAR LE VERRE DE LAIT QUE LUI TENDAIT SA MÈRE. IL NE PRIT PAS LE TEMPS DE S’ASSOIR, EN PRIS UN AUTRE DANS LE PLAT EN OSIER POSÉ SUR LE COMPTOIR QUI SÉPARAIT LE SALON DE LA CUISINE. IL S’ATTENDAIT À CE QUE SA MÈRE LUI FACE REMARQUE QUE MANGÉ SA SE FAIT ASSIT. MAIS ELLE NE DIT RIEN ELLE PASSA JUSTE SA MAIN DANS SES CHEVEUX ET LES ÉBOURIFFA À FIN DE LE FAIRE RÂLER. JAMES NE RAGIT PAS NON PLUS C’EST SON PERE QUI BRISA LEUR PARTAGE SENS PAROLES. ENTRE DEUX OU TROIS GORGÉS DE CAFÉ, IL DIT :

« T’ES PRÊT ? ON PEUT Y ALLER ? »

DE SON PLUS BEAU SOURIRE, IL SE COIFFA RAPIDEMENT À COUP DE DOIGTS PASSÉS DANS LES CHEVEUX ET RÉPONDIT :

« OH QUE OUI »

SA MÈRE VERSA UNE PETITE LARME, LE SERRA FORT DANS SES BRAS « TU M’ÉTOUFFES » PARVIENT T’IL A ARTICULÉ AFIN QUE SA MÈRE LE LACHE. SON PÈRE LUI TENDIT UNE MAIN ET LE SERRA À SON TOUR MAIS AVEC PLUS DE DÉLICATESSE, ET LE RELÂCHA RAPIDEMENT

« BON COURAGE TIENS NOUS AU COURANT ! »
« PROMIS »

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QUELQUES MINUTES PLUS TARD IL SE TROUVAIT SUR LE QUAI DEVANT LE POUDLARD EXPRESS, EN COMPAGNIE DE SES PARENTS ET DE NOMBREUX AUTRES PARENTS ET ENFANTS, CERTAINS ÉTAIT DÉJÀ INSTALLÉS DANS LES WAGONS, D’AUTRES DISCUTAIENT ENCORE, OU DISAIENT AU REVOIR À LEUR FAMILLE. JAMES LUI AVAIT PRÉFÈRE AVOIR CETTE EFFUSION DE LARMES À LA MAISON, IL LEUR FIT TOUT DE MÊME UN DERNIER BISOUS CHAQUE ET MONTA DANS LE TRAIN APRÈS Y AVOIR MONTER SA GROSSE VALISE AVEC CELLE DES AUTRES PASSAGERS.

UN DERNIER SIGNE DE LA MAIN ET IL SE MIT EN QUÊTE D’UN COMPARTIMENT VIDE. LE PREMIER QU’IL TROUVA, ETAIT OCCUPÉ PAR UN GARÇON CRASSEUX AU CHEVEUX NOIRS PLAQUE SUR LA TÊTE COMME SALES. EN FACE DE LUI IL RECCONUE LA JEUNE FILLE AU CHVEUX ROUX CROISSEZ CHER OLIVENDERS. IL LUI SOURIT ET ELLE LUI RENDIT AMICALEMENT L’AUTRE LUI JETA UN REGARD NOIR. IL POURSUIVIS SON CHEMIN TOUS LES CABINE SUIVANTE ÉTAIT PLEINE D’ÉLÈVES. DÉSESPÉRÉ D’EN TROUVER UNE IL SE DIT QUE LA PROCHAINE SERAIT LA BONNE PEU IMPORTE QUI SERAIT DEDANS.

QUAND IL SAISIT LA POIGNÉE DE LA CABINE UN AUTRE GARÇON AVAIT AMORCÉ LE MÊME MOUVEMENT, JAMES LE REGARDA VITE FAIT IL SEMBLAIT AVOIR LE MÊME ÂGE QUE LUI, LA MÊME TAILLE A QUELQUES CENTIMÈTRES PRÈS LES CHEVEUX MI LONG ATTACHE EN UNE COURTE QUEUE DE CHEVAL. LE JEUNE GARÇON EN FACE DE LUI FUT LE PREMIER A BRISER LE SILENCE :

« SALUT MOI C’EST SIRUS ! »

IL AVAIT MARQUÉ UNE POSE AVANT DE POURSUIVRE PAS VRAIMENT COMME S’IL CHERCHAIT SES MOT MAIS PLUS S’IL DEVAIT EN DIRE PLUS OU NON..

« SIRIUS BLACK ! TOI AUSSI T’ES EN PREMIÈRE ANNÉE ? »
« ENCHANTÉ, OUI EN EFFET JE SUIS ÉGALEMENT EN PREMIERE ANNÉE »

IL OUVRIT LA PORTE FIT SIGNÉ À SIRIUS DE PASSER. DISCUTER OK PAS DE SOUCIS MAIS PAS DANS LE COULOIR. DANS LE CAMPARTIMENT, IL Y AVAIT DÉJÀ DEUX GARÇONS, L’UN ÉTAIT PETIT TASSEZ SUR LA BANQUETTE COMME S’IL VOULAIT DISPARAÎTRE, L’AUTRE PLUS ACCUEILLANT MAIS LE TEIN BLANCHÂTRE COMME MALADE. JAMES SUIVIT SIRIUS ET REFERMA LA PORTE DU COMPARTIMENT.  CE FUT JAMES QUI PRIS LA PAROLE LE PREMIER :

« SALUT MOI C’EST JAMES POTTER ET JE VOUS PRÉSENTE SIRIUS BLACK. POUVONS NOUS , NOUS JOINDRE À VOUS POUR FAIRE LE VOYAGE ? »

LE PLUS PÂLE DES DEUX RÉPONDIS DANS LA FOULÉE.

« OUI BIEN SÛR SA SERA UN PLAISIR.. »

IL FIT UNE POSE JETA UN REGARD À L’AUTRE GARÇON QUI APPAREMMENT REGARDAIT LE BOUT DE SES CHAUSSURES AVEC ESPOIRS QU’ON L’OUBLIE. PUIS IL REPRIS :

« POUR MOI ! JE ME NOMME REMUS LUPIN, JE SUIS AUSSI EN PREMIÈRE ANNÉE. »

SIRIUS S’INSTALLA NATURELLEMENT À CÔTÉ DU GARÇON TIMIDE, JAMES PRIS LA PLACE A COTÉ DE REMUS. LA CONVERSATION ALLAIT BON TRAIN DANS QUELQUES MAISON ALLAIENT-ILS ETRE ENVOYÉ, DANS LA QUEL IL NE VOULAIT ABSOLUMENT PAS ALLER. SIRIUS AVEC DES IDÉES BIEN ARRËTE SUR LA QUESTION, IL EST VRAI QUE JAMES AIMERRAIT AVEC CHEZ LES ROUGE ET OR, MAIS SON PERE LUI AVAIT DIT DE SUIVRE LES CONSEILS DU CHOIXPEAU IL NE SE TROMPAIT JAMAIS. JAMES NE VIT PAS LE TEMPS PASSE QUAND LE TRAIN RALENTI. IL EN FUT TRES ETONNER ET NE FUT PAS LE SEUL. SIRIUS AVAIT DEJA BONDIT DE SON SIEGE POUR CE COLLER LE NEZ SUR LA FENETRE.

« TROP COOL, ALLEZ VENEZ ON VA VOIR SA DE PLUS PRES ! »

SIRIUS ÉTAIT PARTIR DU COMPATIMENT DU TRAIN INTERLOQUER, REMUS ET MOI NOUS NOUS LEVIONS D4UN MEME ELAN AFIN DE REGARDER EGALEMENT PAR LA FENETRE. AFIN DE SAVOIR CE QU'IL AVAIT PU VOIR D'INTERESSANT, IL Y AVAIT TELLEMENT DE MONDE SUR LE QUAI QU'ON NE VOYAIT RIEN. LA PORTE DU COMPARTIMENT S'OUVRIT DE NOUVEAU DERRIERE NOUS. CE FUT LE GARCON DISCRET QUI AVAIT FAIT LE VOYAGE AVEC NOUS QUI ETAIT SORTI LUI AUSSI. JAMES SE DIRIGEA VERS LA PORTE QU'IL OUVRIT ET CE TOURNANT VERS REMUS LUI DIT D'UN TON PRESSER, MAIS DOUX ET AGRÉABLE QUAND MEME :

« APRES TOI ! »

REMUS RÉCCUPERA SA CAPE QU'IL AVAIT LAISSER QUE LA BANQUETTE TRAVERSA LE COMPARTIEMENT PUIS LA PORTE QUE TENAIT JAMES ET LE REMERCIA EXCITER LUI AUSSI DE DÉCOUVRIR TOUTE SES NOUVELLES CHOSES.

« MERCI ! »

SUR LE QUAI IL Y AVAIT TELLEMENT DE MONDE, QU'IL N'ÉTAIT PAS FACILE DE SAVOIR OU ALLER. REMUS DESCENDIT LE PREMIER, JAMES A SA SUITE. JAMES TANDIS LE COU ET CE MIS SUR LA POINTE DES PIEDS AFIN DE VOIR LE PLUS LOIN POSSIBLE. MAIS IL NE VOYAIT VRAIEMENT PAS GRAND CHOSES ET IL SE FAISAIT BOUSCULER PAR LE MONDE AUTOUR DE LUI. IL REGARDA REMUS, QUI SEMBLAIT NE PAS ETRE VRAIMENT DANS SON ELEMENTS, IL LUI CHOPPA LE POIGNET ET L'ENTRAINA A SA SUITE. AVEC QUELQUES « PARDON ! », « EXCUSEZ-MOI ! ». IL SE FRAYA POUR LUI ET SON AMI UN CHEMIN DANS LA FOULE. SE FUT AU MOMENT OU IL ATTEIGNAIT LA SORTIE DE LA GARE QU'IL ENTENDU UNE VOIX FORTE ET DISTINCTE QUI APPELAIT AVEC ENTOUSIASME LES PREMIERS ANNÉES A LE REJOINDRE.

IL BIFFURCA DONC AFIN DE LA REJOINDRE, ET S'AMASSA A LA SUITE DES PREMIER ANNÉS DÉJA PRÉSENT. UN REGARD EN ARRIERE IL CONSTATA QU'IL TENAIT TOUJOURS LE POIGNET DE REMUS QU'IL LACHA AUSSI SEC. « CA VA ? » LUI DEMANDANDA-T-IL. SON AMI AVAIT UN TEINT DES PLUS VITREUX, IL SE DEMANDAIT COMMENT IL ARRIVAIT A TENIR DEBOUT ! POUR SIMPLE RÉPONSE IL EUX UN FAIBLE « MERCI ! ». JAMES LUI SOURIT ET FIT UN SIGNE DE TËTE, POUR DIRE Y A PAS DE QUOI. PUIS IL SE RETOURNA VERS L'HOMME CE TROUVANT UN PEU PLUS LOIN SUR LE QUAI. UN HOMME OUI D'APPARANCE, MAIS DE TAILLE PLUS GRAND ET PLUS FORT QUE LE COMMUN DES SORDIERS. CELUI-CI REPRIT LA PAROLE ET TOUTES LES CONVERSATIONS CE TURE D'UN COUP.

« BONSOIR A TOUS, JE ME NOMME RUBEUS HAGRID. JE SUIS LE GARDIEN DES LIEUX ET DES CLÉES DE POUDLARD. J'ESPERE QUE VOUS ETES BIEN TOUS LA ? ALLEZ SUIVEZ MOI LES PREMIER ANNÉES.. »

JAMES VUE QUE CEUX QUI ÉTAIT LES PLUS PROCHE DU DEMI GEANT AVEC BAISSE LA TETE QUAND IL AVAIT FAIT UN BALAYAGE DE MAIN POUR DIRE DE LE SUIVRE. LES PLUS ELOIGNER EUX AVAIENT RIGOLER. MAIS HAGRID N'AVAIT MEME PAS EU L'AIR D'Y PRETE LE MOINDRE ATTENTION. SORTANT DE LA GARE NOUS AVIONS EMPREINTÉ UN CHEMIN BLANC QUI DESCENDAIT EN PENTE ASSEZ DOUCE VERS UN EMBARQUADERE A BATEAU. JAMES JETAIS DES REGARDS REGULIER A REMUS, POUR ETRE SUR QU'IL SUIVAIT ET QU'IL NE SAIT COMMENT LE JEUNE HOMME N'ÉTAIT TOUJOURS PAS TOMBÉ DANS LES POMME. ARRIVANT POUR LE PONTON RUBUS NOUS DONNA QUELQUES INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES.

« MERCI, DE VOUS REGROUPEZ PAR GROUPES DE QUATRE PERSONNES. AFIN DE PRENDRE UN BARQUE QUAND ELLE S'APPROCHERA DE VOUS. LES BARQUES VOUS CONDUIRONT JUSQU'AU PIED DU CHATEAU OU LE PROFESSEUR MC GONAGAL VOUS ATTENDRA AFIN DE VOUS CONDUIRE A VOTRE RÉPARTITION. »

QUAND IL AVAIT PARLER DE GROUPE DE QUATRE, JAMES AVAIT REGARDÉ A DROITE COMME A GAUCHE POUR TROUVEZ QUELQU'UN POUR CE METTRE AVEC EUX. CE FUT AU TOUR DE REMUS DE LE CRAMPONNER PAR L'ÉPAULE ET DE LUI MONTRER SIRIUS QUI LEUR FAISAIT DE GRAND GESTE DE LA MAIN. ILS MONTAIRENT DANS LA SECONDE BARQUE JUSTE DERRIERE HAGRID QUI EN AVAIT PRIS UNE A LUI SEUL. VUE LE GABARIS DE L'HOMME RIEN DE TRES ÉTONNANT, EN SOIT. HAGRID PARLAIT MAIS MALGRÉ SA VOIS FORTE ET PUISSANTE, LES QUATRE AMIS N'ENTENDAIENT ABSOLUMENT PAS CE QU'IL LEUR DISAIT.

ARRIVER AU MILIEU DU PARCOURT UNE OMBRE PASSA SOUS LEUR BATEAU. JAMES LA SUIVIT DU REGARDA, REMUS SEMBLAIT L'AVOIR VUE EGALEMENT, MAIS IL ME FIT UN SIGNE COMME S'IL VOULAIT QUE JE FACE ATTENTION ET SURTOUT DE ME TAIRE. PAS DE NATURE A FAIRE CE QU'ON ME DEMANDAIT J'AVAIS QU'UNE ENVIE DE PARLER MAIS J'EN NU PAS LE TEMPS DANS LA BARQUE SUIVANTE, UNE PERSONNE CE MIS A CRIÉ. AU DÉBUT, JAMES A CRU QUE C'ÉTAIT UNE FILLE QUI AVAIT ÉTÉ ATTRAPPÉ PAR L'OMBRE QU'IL AVAIT VU PASSÉ MAIS NON C'ÉTAIT LE GARCON QU'IL AVAIT VUE QUELQUES HEURES AUPARAVANT AVEC LA JEUNE EVIANS DANS LE TRAIN..

SIRIUS SE MIT A RIRE, COMME D'AUTRE ELEVES DANS LES BARQUES DE DERRIERE. PENDANT QUE L'AUTRE AVAIT TOUJOURS LA TËTE EN BAS TENUE PAR UN POULPE GEANT. SA ROBE DE SORCIER LUI CACHET LE VISAGE ET LES FAIBLE LUMIERE QU'IL Y AVAIT SUR LES BATEAU ALLENTOUR NE PERMETTAIT DE NE PAS BIEN VOIR LA SEINE. MAIS HAGRID PARVIENT EN PARLANT PLUS FORT A CALMER L'ANIMAL QUI RELACHA LE JEUNE GARCON DANS LA BARQUE AVEC UN FRACAT. SIRIUS PROMIS AU ET FORT QU'IL LUI RAPELLERAIT SA MÉSAVENTURE ET SON CRIT DE FILLE.

LE RESTE DU PARCOURT CE POURSUIVIT TRANSQUILLEMENT. A NOTRE ARRIVÉ AU PONTON SUIVANT LES QUATRE GARCONS EMBOITERENT LE PAS DU DEMI GEANT QUI N'ARRETAIT PAS DE DIRE, QU'ON ÉTAIT EN RETARD QU'IL ALLAIT CE FAIRE ENGEULÉ. LUI MARCHAIT VITE MAIS NOUS POUR LE SUIVRE NOUS ÉTIONS OBLIGER DE COURIR. MALGRÉ SON TEINT BLANCHATRE REMUS SUIVIT RELATIVEMENT FACILEMENT. C'EST D'AILLEURS A CE MOMENT LA QUE JAMES SE RENDIT COMPTE QU'IL N'AVAIT PAS BESOIN QU'IL CE FACE DU SOUCIS POUR LUI.

ARRIVER DEVANT LE CHATEAU DE POUDLARD, LE DEMI-GEANT SE RETOURNA LES GARCON ÉTAIENT SUR SES TALONS MAIS TOUS LES PREMIER ANNÉES N'AVAIENT PAS SUIVIT LE DÉMARAGE SUR LES CHAPEAU DE ROUE DU GÉANT. « DÉPECHEZ-VOUS ! » AVAIT-IL CRIER AUX RETARDATERENT. A CE MOMENT LA PORTE MACIVE S'OUVRE ET UNE FEMME DANS UNE ROBE DE SORCIERE D'UN VERT BOUTEILLE EN SORTIE.

« PROFESSEUR MC GONAGAL ! »

DIT HAGRID, LUI AUSSI ÉTAIT UN PEU ESSOUFLÉ DE CETTE MARCHE AU PAS DE COURSE QU'IL NOUS AVAIT FAIT FAIRE SUR LA FIN DU PARCOUT..

« TOUT SES BIEN PASSÉ HAGRID ? »
« OUI PROFESSEUR, TRES BIEN ! »
« TRES BIEN ! »

HAGRID POURSUIVIT SON CHEMIN ET NOUS LAISSA AVEC CETTE JEUNE FEMME AU LUNETTE EN DEMIS LUNE. QUI NOUS FIXAIT AVEC INTENSITÉ, ON SE SERAIT PRESQUE CRU TOUT NU DEVANT ELLE TELLEMENT SES YEUX ETAIT PERSANT. ELLE ATTENDU QUE L'ENSEMBLE DES PREMIER ANNÉES SOIT RASSEMBLÉ DEVANT ELLE, ¨PUIS ELLE DIT D'UNE VOIX FORTE ET CLAIRE :

« VEUILLEZ ME SUIVRE LES PREMIER ANNÉES ! VOTRE RÉPARTITION VA POUVOIR COMMENCER !»